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Comment Kev Adams fait rire ?
La lumière de Kev écrase-t-elle une part d'ombre bien plus obscure...? Enquête autour d'une LOLstar.
Attention : article à caractère humoristique...
Kev Adams, ou plutôt Kevin Smadja, est un humoriste, acteur français. Il a commencé très jeune et a su directement attirer les lumières sur lui ! Comment a-t-il pu faire rire et comment continue-t-il de le faire ?
Après un sondage auprès de lycéen·e·s, l’avis sur la question est très controversé. Beaucoup le considèrent comme drôle - bien qu’il ne fasse pas toujours rire les concerné·e·s, et une autre part non négligeable pense l'inverse. Cela est notamment dû aux thèmes de ses blagues qui touchent plus les "'djeun's", ou à son humour que certain·e·s qualifieraient de "lisse". Tout cela éloigne une certaine catégorie de gens. Cependant, en allant voir son spectacle ou en regardant certains de ses sketchs, la salle hétéroclite semble rire à gorge déployée. Un couple d'hommes âgés témoigne : "Ah ce jeunot, qu'il est bidonnant !".
Il paraît donc évident de se demander si ce succès auprès de tous les âges ne cache pas une toute autre et sombre histoire...
On aurait assisté à des phénomènes étonnants à la suite des représentations de l'artiste urbain. En effet, certain·e·s spectateur·ice·s présentent des vomissements intenses. On peut établir un parallèle avec la prise de nombreux narcotiques mais celui qui semble être le coupable parfait est le protoxyde d'azote. Cette substance présente la particularité de susciter l'hilarité. La star des moins de 20 ans aurait tout intérêt à investir dans ce gaz afin de créer un sentiment d'euphorie jamais vécu par son auditoire ; un sentiment que son public associera au personnage du sympathique bouffon. Kevin ferait ainsi de sa salle de spectacle, emplie de gaz hilarant, une bulle agréable mais pourtant si fragile et dangereuse une fois éclatée. De facto, l'utilisation de cette substance donne lieu à un pic d'adrénaline plaçant l'individu sur un nuage illusoire de fun. Cependant, la rechute de cet optimum conduit à des conséquences désagréables rapides telles que des nausées. De plus, sur une durée de temps plus prolongée, l'individu va être amené à chercher à atteindre à nouveau cette béatitude. C'est ici que notre luron va faire fructifier son investissement moralement condamnable. Le public ayant été soumis à ce gaz, aura associé Kevin à cette extase et cherchera ainsi à réitérer l'expérience humoristique.
Kev Adams, en dépit de la santé de ses fans, n'hésiterait pas à gonfler ses chiffres avec des méthodes qui n'ont rien à envier aux grandes mafias corses. Ces faits restent hypothétiques mais fondés sur des constats bel et bien réels. Cet exemple extrapolé fait réfléchir à l'omniprésence du capitalisme jusque dans votre bonheur dans notre société du divertissement.
#sociedad finalement
L. PASQUETTI / V. MARTINOT
Kev Adams, ou plutôt Kevin Smadja, est un humoriste, acteur français. Il a commencé très jeune et a su directement attirer les lumières sur lui ! Comment a-t-il pu faire rire et comment continue-t-il de le faire ?
Après un sondage auprès de lycéen·e·s, l’avis sur la question est très controversé. Beaucoup le considèrent comme drôle - bien qu’il ne fasse pas toujours rire les concerné·e·s, et une autre part non négligeable pense l'inverse. Cela est notamment dû aux thèmes de ses blagues qui touchent plus les "'djeun's", ou à son humour que certain·e·s qualifieraient de "lisse". Tout cela éloigne une certaine catégorie de gens. Cependant, en allant voir son spectacle ou en regardant certains de ses sketchs, la salle hétéroclite semble rire à gorge déployée. Un couple d'hommes âgés témoigne : "Ah ce jeunot, qu'il est bidonnant !".
Il paraît donc évident de se demander si ce succès auprès de tous les âges ne cache pas une toute autre et sombre histoire...
On aurait assisté à des phénomènes étonnants à la suite des représentations de l'artiste urbain. En effet, certain·e·s spectateur·ice·s présentent des vomissements intenses. On peut établir un parallèle avec la prise de nombreux narcotiques mais celui qui semble être le coupable parfait est le protoxyde d'azote. Cette substance présente la particularité de susciter l'hilarité. La star des moins de 20 ans aurait tout intérêt à investir dans ce gaz afin de créer un sentiment d'euphorie jamais vécu par son auditoire ; un sentiment que son public associera au personnage du sympathique bouffon. Kevin ferait ainsi de sa salle de spectacle, emplie de gaz hilarant, une bulle agréable mais pourtant si fragile et dangereuse une fois éclatée. De facto, l'utilisation de cette substance donne lieu à un pic d'adrénaline plaçant l'individu sur un nuage illusoire de fun. Cependant, la rechute de cet optimum conduit à des conséquences désagréables rapides telles que des nausées. De plus, sur une durée de temps plus prolongée, l'individu va être amené à chercher à atteindre à nouveau cette béatitude. C'est ici que notre luron va faire fructifier son investissement moralement condamnable. Le public ayant été soumis à ce gaz, aura associé Kevin à cette extase et cherchera ainsi à réitérer l'expérience humoristique.
Kev Adams, en dépit de la santé de ses fans, n'hésiterait pas à gonfler ses chiffres avec des méthodes qui n'ont rien à envier aux grandes mafias corses. Ces faits restent hypothétiques mais fondés sur des constats bel et bien réels. Cet exemple extrapolé fait réfléchir à l'omniprésence du capitalisme jusque dans votre bonheur dans notre société du divertissement.
#sociedad finalement
L. PASQUETTI / V. MARTINOT
