Lucy, Néo-zélandaise, découvre la France

Lucy Reilly, une Néo-zélandaise, est arrivée le 1er décembre en France. Elle raconte la découverte d’un pays qui lui était jusqu’à présent inconnu.
Lucy Reilly. (Crédit photo : Lou-Anne Martineau)
Arrivée le 1er décembre, Lucy, seize ans, a été accueillie dans une classe de seconde au lycée. Pour ses premiers pas en France, la jeune Néo-zélandaise aura eu l’occasion de découvrir une nouvelle culture pendant deux mois.
Originaire de Dunedin, une ville dans la partie sud de l’île, Lucy avait décidé de voyager en France pendant ses vacances d’été, puisque les saisons sont inversées, grâce à une association. Accueillie dans une famille française, elle a profité de ses deux mois de vacances scolaires pour découvrir une nouvelle culture, une nouvelle langue.
Pour Lucy quitter sa famille fut une étape assez difficile mais « c'est surtout mes proches qui ont eu du mal à me laisser partir ». Cependant, elle est facilement arrivée à rester en contact avec eux, tous les jours par message. Pour elle, le plus dur était de quitter la Nouvelle-Zélande durant les vacances d’été et d’arriver dans un pays en hiver. Elle appréhendait aussi sa rentrée qui a eu lieu seulement deux jours après son retour en Nouvelle-Zélande.
« Je pratiquais déjà le français depuis trois ans avant de venir en France. C'est la langue qui a principalement motivé mon départ et mon choix de destination ». Son séjour fut, pour elle, l’occasion de progresser et de s’accoutumer à « une culture fascinante ». Arrivée en pleines festivités de Noël, Lucy a expérimenté une nouvelle façon de célébrer les fêtes de fin d’années. « J’adore la cuisine française », confie-t-elle, devant la richesse de notre nourriture.
Avant de venir en France, elle avait entendu beaucoup de préjugés sur les Français, qu'ils étaient froids notamment. Mais, une fois arrivée en France, tous ces stéréotypes se sont volatilisés. Ce qui l’a le plus surpris, c’est la durée des cours, plus longs qu’en Nouvelle-Zélande et le nombre de croix dans l'établissement. Ce voyage était pour elle une ouverture nécessaire, souhaitant poursuivre ses études dans les sciences politiques.
Lou-Anne MARTINEAU, terminale H et Chloé BRETAUD, terminale I.
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