Journal des Lycées > L'actualité des lycées > Vendée > Lycée Sainte-Marie > Les articles > Partir à la découverte d'une autre culture

Partir à la découverte d'une autre culture

Le dispositif Erasmus est mis en place, depuis cette année, au lycée général et technologique. Objectif : convaincre plus d'élèves de participer au programme.
Marion et Maëlys dégustant un mets autrichien. (Crédit photo : Lycée Sainte-Marie)
La mobilité individuelle Erasmus permet à tous les élèves de partir découvrir une nouvelle culture, un nouveau pays pour s'enrichir et rencontrer de nouvelles personnes.
Cette année, cinq élèves ont eu la chance d'inaugurer cette nouvelle mobilité. Trois d'entre eux sont partis à Séville, en Espagne, et deux élèves en Autriche, à Schliechbach.
Marion Gilbert et Maëlys Boyer, deux élèves de première générale ont profité de l’échange avec le groupe germaniste parti une semaine pour commencer leur voyage et prendre leurs marques dans cette nouvelle ville. Durant six semaines, elles se sont intégrées dans un lycée autrichien.
Des partenaires sérieux Les trois élèves qui sont partis à Séville pendant sept semaines ont découvert la vie espagnole au quotidien ainsi que le lycée qui les accueillait. Avant le départ des élèves, les professeures Mathilde Figureau et Sarah Besson sont allées à Séville pour découvrir la ville, faire connaissance avec les familles d’accueil ainsi que le lycée. « Avant de partir nous créons un contrat pédagogique […]. Nous avons à peu près toutes les informations. S’il y a le moindre problème, les jeunes savent qui contacter », selon les professeures.
Cette année, le lycée Sainte-Marie a, donc, collaboré avec le lycée de Schliechbach et le lycée de Séville malgré la difficulté de trouver des collaborateurs : « Nous avons eu la chance de trouver des partenaires sérieux, motivés et investis, qui prennent le temps de s’occuper des élèves », expliquent Sarah Besson et Mathilde Figureau.
Pour les années à venir, plusieurs défis se posent. Tout d’abord, les professeures souhaiteraient augmenter le nombre de places pour cette mobilité. Trouver plus de collaborateurs, surtout anglophones.
Pour les inscriptions, il faut se présenter à un entretien et démontrer ses motivations en trois langues : « Très probablement, dans le courant des mois de janvier et février, on va commencer à reparler de tout cela ». Cette mobilité est ouverte à tous types d’élèves. Il n’y a pas besoin d’être bilingue, seulement être autonome et savoir se débrouiller dans un pays étranger.
Margaux LEVIN et Appoline ROCHEREAU--BENAITEAU,
seconde B.
Connexion à la salle de rédaction numérique (SRN)
Se connecter

N'utilisez pas cette fonctionnalité si vous utilisez des postes partagés

 
Mot de passe oublié