Service universel, inoubliable !

Le Service national universel (SNU) propose un enseignement particulier. On y apprend tous les jours la citoyenneté.
Le logo du SNU. (Crédit photo : DR)
Au sein du lycée Sainte-Marie de Chantonnay, plusieurs élèves ont participé, l'an passé, au SNU. Ils racontent cette expérience inoubliable menée dans divers camps situés dans la région. Parmi eux, Lucie Gandoin, en première Ga, qui a fait le SNU à Angers, Dorian Piveteau, aussi en première Ga, qui était à la Turballe et Florine Coumailleau, première STMG, à Sablé-sur-Sarthe. Leurs horaires variaient selon le centre (réveil entre 6 h et 6 h 30 et coucher vers 22 h 30). Chaque soir, ils effectuaient un temps de veillée afin d'évoquer de grands thèmes.
Le sens de l'engagement Le SNU est un programme qui a été mis en place en 2019, très lointain parent du service militaire. Il est accessible aux jeunes de 15 à 17 ans. La participation est gratuite (sur www.Snu.gouv.fr) et est prise en charge par l'État qui finance tout (uniforme, dortoir, repas, tenue de sport...). Ce dernier peut se faire partout en France dans des camps d'affectation, où les jeunes se rejoignent en présence de leur tuteur. Le but premier du SNU est l'engagement.
Beaucoup d'activités sportives Dans les camps, de nombreuses activités sont proposées, et beaucoup de sports collectifs mais aussi de la natation, du crosstraining, de la course d'orientation, basket, rugby et bien d'autres encore. Ce sont des personnels de l'armée mais aussi des éducateurs titulaires du BAFA qui encadrent ces stages.
Au final, pourquoi faire le SNU ? « Pour rencontrer des gens », témoigne Lucie Gandoin, élève de première générale. Pour les jeunes, cela permet aussi de changer d'air« On apprend à profiter des autres loin des écrans ». Un loisir réduit à une heure par jour. Pour Dorian Piveteau, ce fut « la meilleure décision de ma vie », car elle l'a aidé à découvrir de nouveaux horizons.
Le Service national universel peut se faire du 13 au 25 février, du 12 au 24 juin ou du 3 au 15 juillet.
Hakônn RISSELIN
et Lysandre ROUET, seconde E.
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